Faullenn, le sociopathe !

Nom : Faullenn


Âge : 23 ans


Sexe : Masculin


Espèce : Soldat infernal !!

Tout s’acharnait sur lui. Lorsqu’il est né, déjà ce n’était pas un enfant désiré. Malheureusement sa mère était contre la césarienne et il du venir au monde. Malgré le fait qu’il indésiré, ses parents refusèrent catégoriquement de l’abandonner.

Plus tard, lorsqu’il grandit, il se rendit compte que ses parents ne l’aimaient pas. Ils l’ignoraient, attachaient plus d’importance à leurs animaux de compagnie qu’à lui. À l’âge de sept ans, il en avait marre d’être moins important que ses foutus animaux. Il prit un couteau et les éventra tous, sans exception. Il c’était dit qu’une foi débarrassé des animaux de compagnie, ses parents l’aimeraient. Assis dans la cours de leur maison, couvert de sang, il attendit le retour de ses parents. À leur arrivé, ses parents hurlèrent. Ils appelèrent la police. Qu’avait-il fait de mal ? Il ne le comprenait pas. Il fut interné. C’est a partir, de ce moment là qu’il commença à devenir sociopathe. Il haïssait les gens. Il fit semblant d’aller mieux. Il sortit dix ans plus tard. Ses parents avait été tués dans un accident de voitures. Cela ne lui fit ni chaud, ni froid. Enfaite, il en était même content. Bien fait pour eux ! Maintenant qu’il allait bientôt avoir dix-huit ans, il fallait qu’il se débrouille tout seul.

    Il se présenta à une offre d’emploi. On le refusa. Les gens n’aime pas les personne qui on fait un tour en hôpital psychiatrique. C’est à ce moment là qu’il tua pour la première fois. Il s’était renseigné sur cet homme. Où il habitait, ce qu’il faisait lors de son temps libre. Quand rentrait-il chez lui le soir. S’il avait une femme. Des enfants. Tout, tout y passa et il commença sa machination. Il construit un plan en deux en trois mouvements. Il le peaufina jusqu'à ce qu’il atteigne la perfection. Puis il passa à l’action. Au couteau, son arme préférée. Vêtu d’une cape pourpre, de vêtement du dix-septième siècle, de chaussure à semelle haute et d’un masque, blanc. Il attacha le directeur du magasin et le força à regarder pendant qu’il tua ses filles et sa femme. Bien sûr, tout cela était trop banal pour lui. Il fallait quelque chose de plus spectaculaire. Avant de les tuer, il tua le chien. Avec son sang il dessina une salle de théâtre, puis il força à jouer ses filles et sa femme devant lui. Menacé de mort les gens sont près à n’importe quoi pour survivre. Il demanda à la mère de tuer ses filles et il l’épargnerait. Dans un premier temps elle refusa, classique pour une mère. Mais lorsqu’il avança l’argument que si c’était lui qui devait les tuer, elles souffriraient longuement. Agonisant pendant des heures. Le spectacle qu’elle leur offrit, le fit rire. Lorsque les jeunes furent mortes, il entra enfin en scène. Il poignarda la femme, mais pas assez pour qu’elle meure sur le coup, il fallait qu’elle puisse voir la mort de son mari. La détresse des gens face à l’anéantissement de leur famille sous leurs yeux était, pour Faullenn, jouissif.

    Et il continua ainsi de suite, tuant tous ceux qui osaient refuser de l’embaucher, ou même lui refuser quoique se soit. Pendant six ans, il tua et tua des centaines de gens. Il ne les connaissait pas mais retenait tous leurs visages. Leur expression avant de leur mort.

    Lors de son vingt-troisième anniversaire, il décida de jouer gros. Il voulait détruire une grande entreprise. Des mois avant son anniversaire, il construisit son plan. Tout allait être parfait, le meilleur anniversaire qu’il ait jamais eut. Jusqu'à présent tout ce déroulait comme prévu. Il avait réussi à ligoter tout le monde dans une seule pièce avant qu’ils ne sonnent l’alarme. Prit de nostalgie, il réitéra le même manège que lors de son premier meurtre. Une scène de théâtre. Il les faisait passer deux par deux, des fois trois ou quatre. Mais il fallait que ça durent le plus longtemps. Ce qu’il n’avait pas prévue en revanche, c’était qu’une jeune femme pouvait être assez maligne pour utiliser son portable pour alerter la police. La police entendit par le téléphone Faullenn demander à quelques employer de s’entre tuer. Il ne leur en fallut pas plus. La brigade régionale se rendit sur place. Mais rapidement elle comprit qu’elle ne ferait pas l’affaire, elle appela les renforts. Les policiers essayèrent tout pour convaincre Faullenn de sortir et de laisser les gens en vie. Mais, quitte à être arrêté autant finir son œuvre. Il annihila, tout le monde. Puis il sortit, triomphalement. Le couteau toujours en main, il s’avança pour avoir l’attention de tout le monde.


- Vous venez de voir le plus grand meurtrier qui n’est jamais existé. Retenez une chose, c’est que vous ne réussirez pas à m’arrêter.


    Il se mit à rire. Qu’est-ce que c’était bon. Il s’entailla partout. Toutes les artères du corps humain qu’il connaissait. Il ne mit pas longtemps à s’effondrer au sol, comme une poupée de chiffon macabre.

    Avec tout ce qu’il avait fait, il se doutait qu’il n’irait pas au paradis, si tant est qu’il en existait bien un. Telle ne fut pas sa surprise lorsqu’il se réveilla en enfer, ainsi donc il existait bien un enfer et un paradis. Finalement il était content d’être tombé en enfer, il ne savait pas si il aurait pu supporter le paradis. Lorsqu’il se releva il constat qu’il portait toujours sa tenue de meurtrier,apres un intense débat interrieur il décida de ne jamais quitter ses vêtements autre part que dans un endroit où il était seul.